Toute activité routinière étant susceptible d’être bientôt réalisée par un automate, il n’est pas absurde de se poser la question. Quoi de plus répétitif en effet que la démarche expérimentale ? Cela n’a pas échappé à un groupe de chercheurs en neurosciences travaillant dans le monde des interfaces cerveau-machine. Avec l’active sampling protocol (Asap), ils proposent une méthode qui révolutionne la façon de concevoir les dispositifs expérimentaux.