Inutile d’être «mentaliste» pour décoder l’intention qui se cache derrière le geste d’un interlocuteur. A force d’entrainement, notre cerveau a appris à déceler d’infimes variations du mouvement et à leur donner un sens. C’est ce qu’a montré François Quesque, un jeune chercheur passionné de «cognition sociale incarnée».