Ce qu’il fallait retenir de l’actualité des neurosciences cette semaine.
- Ils ne dorment pas et ne souffrent pourtant d’aucun symptôme cognitif. Les explications de Claude Touzet, maître de conférences en sciences cognitives à l’université Aix-Marseille (The Conversation).
- Des chercheurs Inserm viennent de montrer qu’il est possible de réduire des douleurs inflammatoires intestinales chez des souris en les vaccinant (Inserm).
- Réseaux sociaux, sucre… les Occidentaux accros à la dopamine.
Pour le médecin américain Robert Lustig, cette quête du plaisir, fondée sur la dopamine, est l’ennemie du bonheur, qui dépend, lui, de la sérotonine (Le Monde, abonnés). - Quand le saut à l’élastique fait avancer la science et montre que notre cerveau en sait plus long que nous sur ce qui va se passer (Echosciences Grenoble).
- Sommes-nous programmés pour reconnaître les visages ou est-ce lié à un apprentissage ? (La Tête au Carré, Cerveau & Psycho)
- Quand les virus aident à mieux comprendre le fonctionnement du cerveau (CNRS).
- Crise dans la recherche sur Alzheimer : 3 essais cliniques s’arrêtent faute de résultats (Sciences et avenir).
- Clock, une exposition interactive sur les horloges du vivant qui règlent les rythmes du monde végétal, animal ou humain.
- Souvent présentées comme révolutionnaires, les sciences cognitives ont une longue histoire derrière elles, rappellent le neuroscientifique Thomas Andrillon et le philosophe Jérôme Sackur (Libération).
- Effets de la très haute altitude sur le cerveau : les explications du Dr Pierre Pili, médecin urgentiste et secouriste à Chamonix, après le sauvetage de l’alpiniste Elisabeth Révol (photo ci-dessus) sur les pentes de l’Himalaya (Sciences et avenir).