Ce que nous avons retenu de l’actualité des neurosciences des deux dernières semaines dans les médias grand public.
- Neurophysiologie. Dans ce podcast, le neurophysiologiste Stéphane Charpier, de l’Institut du Cerveau, nous explique les étapes de la mort dans le cerveau et les récentes découvertes d’une « onde de la résurrection »… (Cerveau & Psycho)
- Physiopathologie. Pour la première fois, des travaux suggèrent que les personnes atteintes de stéatose hépatique ou « maladie du foie gras » pourraient aussi présenter un risque accru de développer des troubles neurologiques graves, comme la démence. (Inserm)
- Alzheimer. La progression de la maladie est-elle davantage liée à la quantité de plaques dans le cerveau ou à la quantité d’amyloïde bêta 42 restante ? Une étude récente tente de répondre à cette question. (The Conversation)
- Parkinson. Le virus du Covid 19 entraine un état inflammatoire dans le cerveau, processus qui est amplifié en présence des protéines responsables de la maladie de Parkinson. (Sciences et avenir)
- Neurologie. Des chercheurs se sont intéressés aux conséquences sur le cerveau d’une exposition précoce à l’anesthésie générale : ils mettent en évidence une possible diminution localisée de volume de la substance grise associée à des modifications émotionnelles. (Inserme)
- Musique. Notre cerveau, notre corps synchronisent sur la musique. Notre tempo favori: 120 battements par minute. Des scientifiques japonais viennent de montrer que les rats font pareil, au même tempo. (La matinale du Monde)
- Mémoire. Grâce à une électrode implantée dans le cerveau, des personnes atteintes de lésions cérébrales ont pu améliorer leur mémoire jusqu’à 50%. Pour cela, le dispositif reproduisait les impulsions électriques produites pendant l’encodage d’un nouveau souvenir. (The Conversation)
- Autisme. L’étude du cerveau de personnes autistes décédées montre une baisse de l’activité de certains gènes dans le cortex visuel et le cortex pariétal, qui traitent des informations sensorielles. (Le Monde des sciences)
- Ethologie. Comme nous, les macaques associent les vocalisations de leur congénères à la scène visuelle pour en comprendre le contexte. (Cortex Mag)