Covid-19 et méditation

Covid-19 : la méditation, un recours contre le stress

Changements de nos habitudes de vie et de travail, inquiétude pour notre santé et celle de nos proches, pour notre emploi ou notre activité, spéculation sur le monde d'après… La période troublée que nous traversons est source de stress et d'angoisse. C'est peut-être le moment de se mettre à la méditation, nous conseille Antoine Lutz, qui travaille sur les bases neurophysiologiques de cette pratique. ... Lire la suite...

Vanité, de Philippe de Champaigne

Ça n’arrive qu’aux autres : comment le cerveau fuit l’idée de la mort

Utilisant l'imagerie cérébrale et les probabilités bayésiennes, une équipe franco-israélienne vient de vérifier la théorie psychologique de la gestion de la peur. Par un mécanisme inné, notre cerveau se protège de l'idée de la mort ou l'attribue à autrui. Coauteur de l'étude, Antoine Lutz se demande si la méditation pourrait nous affranchir de ce déterminisme et nous aider à envisager notre finitude plus sereinement. ... Lire la suite...

Photo : Ivan Shidlovski/123 RF

Le cerveau est-il une machine comme une autre ?

Implanter des électrodes dans le cerveau de soldats pour réduire leur stress, connecter le cerveau aux diverses machines qui nous entourent – ordinateurs, voitures ou consoles de jeu – télécharger notre mémoire sur un serveur… Le développement des NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives) et leur convergence annoncée font émerger, notamment aux Etats-Unis, des projets plus ou moins sérieux. Ils sont pour la plupart portés par des entrepreneurs richissimes qui cherchent à augmenter les performances cognitives de l’homme. Simple bulle engendrée par un marketing futuriste ? C’est l’avis d’Yves Frégnac, directeur de l’Unité de neuroscience, information et complexité (Unic) du... […]

La méditation ralentit-elle le vieillissement du cerveau ?

Oui, si l’on en croit les résultats d’une étude pilote menée par des chercheurs de l’Inserm à Caen et Lyon. En réduisant le stress, l’anxiété, les émotions négatives et les problèmes de sommeil, la méditation ralentirait les changements physiologiques qui conduisent à un déclin des fonctions cognitives. Antoine Lutz (CRNL), qui a participé à cette étude, évoque les perspectives ouvertes par ces résultats. ... Lire la suite...